vendredi 29 janvier 2010

Evasion en chaîne (Chine ?)

   
Il serait temps de parler de la liberté, celle que l’on trouve dans les espaces situés en-dehors des contraintes insupportables. Faut-il se déplacer pour la trouver ? Oui, la fuite est souvent le comportement le plus courageux dans nombre de situations. Il y a une telle quantité de manières de fuir, que la psychiatrie en a monopolisé une grande partie à son usage. Pourtant, toutes témoignent d’un même besoin de libération.
    
     
Au bout de la fuite se trouve le refuge, qu’il soit provisoire ou non. C’est la qualité de ce refuge qui détermine le caractère, le style, le genre de l’évasion, et il suffit de peu pour que cela finisse de façon plus tragique que dans la situation à l’origine du besoin d’évasion.
Mais avant cela, les nuances qui différencient les sentiments déclenchant la prise de conscience du malaise, vont donner son allure au passage à l’acte : transport, croisière ou chute. Certaines fois, les chemins peuvent conduire à l’insolite, longer des frontières redoutables, à l’écart des routes fréquentées. C’est dans ces moments, en pleine possession de ses moyens et confiant dans son orientation, que le "voyageur" prend la confiance nécessaire pour continuer de tracer sa voie.

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